Les Marocains paieront plus cher la bonbonne de gaz
Comme décidé par le gouvernement, le prix de la bonbonne de gaz va augmenter dès l’année prochaine. Celle-ci devrait se poursuivre les années suivantes.
Le décollage économique analysé par "Jeune Afrique"
L’hebdomadaire "Jeune Afrique l’Intelligent" a consacré un dossier dans sa dernière édition au décollage que connaît le Maroc dans différents secteurs de l’économie.
Intitulé "La lettre du Maroc", le dossier met en avant la nouvelle dynamique créée dans le secteur touristique, dans le cadre du "plan ambitieux de 10 millions de touristes à l’horizon 2010, visant à faire passer le Maroc de la 39-ème place à la 20-ème des destinations touristiques dans le monde".
Il évoque, photos à l’appui, les différents projets réalisés ou en cours de réalisation, notamment au niveau de la rénovation des unités touristiques et du renforcement des capacités d’accueil. "350 unités seront rénovées et plus de 200.000 lits devraient voir le jour dans les dix années à venir", écrit l’hebdomadaire français, pour qui, le Maroc "tout en renforçant les positions acquises sur le créneau balnéaire, a entrepris de repositionner son offre culturel et développer son tourisme rural".
Le dossier traite également de l’évolution que connaît le secteur de l’industrie, avec des zones et parcs industriels qui se multiplient dans le pays, autour de trois secteurs économiques bénéficiant, selon le journal, d’un encouragement particulier : les entreprises électroniques, électriques et le textile.
Le secteur des investissements et les privilèges qu’accorde la nouvelle charte aux promoteurs nationaux et étrangers sont largement développés dans ce dossier, qui met en avant les potentialités humaines et techniques dont dispose le Maroc, et qui font de lui, "l’un des principaux bénéficiaires africains des investissement directs étrangers".
Au sujet de la privatisation des entreprises publiques, le journal relève que le Maroc est de fait l’un des pays d’Afrique, qui su le mieux valoriser cette privatisation. "Certes bien gérées et de grande valeur, ces entreprises publiques, dit-il, sont aussi cédées, en tenant compte à la fois du marché spécifique à chacune d’entre elles et de la conjoncture boursière mondiale".
MAP
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