Une vingtaine de parlementaires marocains sont dans le collimateur de la justice. Ils sont poursuivis pour faux et usage de faux, abus de pouvoir, dilapidation et détournement de fonds publics.
Une enquête pour corruption vient d’être ouverte par le service préfectoral de la police judiciaire à l’encontre de deux inspecteurs accusés de corruption.
Dans un communiqué, la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) indique avoir reçu une plainte accusant les deux fonctionnaires de chantage et de corruption dans laquelle le plaignant affirme avoir « donné une partie de la somme demandée en guise de corruption aux mis en cause après qu’ils lui ont fait croire que la voiture qu’il était en train de réparer était obtenue d’un acte criminel ».
Les services de police ont auditionné le plaignant et visionné une vidéo issue d’une caméra de surveillance « en relation avec l’affaire », alors que les deux policiers font l’objet d’une enquête judiciaires en vue « de tirer au clair l’ensemble des accusations qui leur sont reprochées ».
Des sanctions administratives et disciplinaires seront prises à l’encontre des officiers de police si la corruption est avérée, précise la DGSN.
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