
Un durcissement du traitement administratif des étrangers, même en règle, se dessine à Nantes. Une note interne de la police dévoile une procédure inédite qui fait grincer des dents.
Un projet de loi qui tend à élargir les voies d’entrée des travailleurs immigrés en Italie, a été adopté mardi par le Conseil des ministres italien. Le projet de loi modifie la loi dite "Bossi-Fini", dont les mécanismes visant à restreindre le flux des travailleurs étrangers dans le pays ont favorisé l’immigration clandestine.
Le texte rétablit notamment le système des "sponsors" (communautés locales, syndicats, associations de chefs d’entreprise, entrepreneurs ou
citoyens) qui se portent garants sur un plan économique des travailleurs qu’ils font venir en Italie. Ce système avait été aboli par la loi Bossi-Fini.
L’embauche des employés de maison, en particulier pour les personnes âgées, sera aussi rendue plus facile. Le projet a pour but aussi de favoriser l’entrée des travailleurs hautement qualifiés qui ne seront plus comptabilisés dans les quotas d’entrée des travailleurs étrangers, fixés tous les trois ans et non plus tous les ans comme c’est le cas actuellement.
Ces travailleurs qualifiés pourront bénéficier d’un permis de séjour maximum de 5 ans s’ils sont notamment employés dans les secteurs de la recherche, des sciences, de la culture, des arts et des sports.
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