Ce sommet, qui serait supervisé par le président du gouvernement italien Silvio Berlusconi en personne, aurait déjà l’aval de la France, des États-Unis et de l’Algérie qui considère l’Italie pays neutre à la question du Sahara.
L’ouverture de ce dialogue entre le Maroc et l’Algérie serait une tentative d’apaiser les tensions régnantes dans la région depuis quelques semaines. En raison, les bruits faisant état de l’installation par l’Algérie de missiles du côté ouest algérien en préparation à une guerre avec le Maroc. Le Maroc qui accuse quant à lui directement l’Algérie de la détention de Mustapha Salma Ould Sidi Mouloud dans les camps de Tindouf, aurait envenimé davantage la situation.
L’ouverture d’un passage permettant à l’Algérie d’accéder à l’océan atlantique, serait parmi les conditions que poserait le voisin pour trouver une issue au conflit maroco-algérien.
Ce sommet, auquel le Polisario n’aurait pas été convié, pourrait avoir lieu dans la capitale algérienne.