Suite à la directive de Bank Al-Maghrib (BAM) publiée le 25 septembre 2024, qui plafonne désormais le taux d’interchange domestique à 0,65%, le Centre monétique interbancaire (CMI) a été contraint de s’aligner.
Les prix des actifs immobiliers ont fortement augmenté au deuxième trimestre 2017 dans la plupart des villes marocaines, selon la dernière note publiée par Bank Al-Maghrib (BAM) et l’Agence nationale de la conservation foncière, du cadastre et de la cartographie (ANCFCC).
Ainsi, une hausse de 6,2% a été notée durant cette période, 7% dans le résidentiel, 6,9% sur les biens à usage commercial et 5% en ce qui concerne le foncier, lit-on sur cette note. Les appartements ont vu leur prix augmenter de 9%, les villas de 1,2%, les maisons de 0,2%, tandis que les locaux commerciaux ont crû de 1,7%.
Les villes marocaines ne sont pas toutes logées à la même enseigne. Parmi celles ayant connu une hausse des prix : Casablanca où les appartements ont enregistré une augmentation de 1,6% au deuxième trimestre mais où les prix des terrains ont baissé de 2,3% et ceux des locaux commerciaux de 3,5%.
A Rabat, la baisse est plus nette : les prix ont connu une chute globale de 4,2%, 4,8% pour les appartements, 8,2% pour les locaux commerciaux alors que les prix des terrains ont augmenté de 1,6%.
On observe une quasi stagnation de l’activité immobilière à Marrakech. On a noté une baisse de 0,8% sur les prix des appartements et un une hausse de 0,5% des prix des terrains et 1,7% des locaux commerciaux.
Un repli global de 1,9% a été noté à Tanger où les prix des appartements ont baissé de 2,3%, les terrains de 0,8% et 12,1% pour les locaux commerciaux.
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