Au Maroc, les parquets des tribunaux de première instance ont commencé à transmettre aux nouvelles chambres chargées des crimes de blanchiment d’argent les dossiers des présidents de commune et des parlementaires condamnés pour dilapidation et...
Le corps défiguré d’une Marocaine a été retrouvé mardi dans une cabane située dans l’Île de Seeland, la plus grande île du Danemark. Déclarée disparue depuis samedi, Hafida Bourouih, 39 ans, était mère de deux enfants et comptait se rendre au Maroc pour les vacances.
Le tueur n’est autre que Anders Larsen, son mari et accessoirement ancien boxeur. D’après le journal danois Copenhagen Post, l’homme a avoué le meurtre de son épouse devant le tribunal de Glostrup mais a nié avoir voulu découper le corps en morceaux.
Tout est parti d’une banale dispute entre les deux époux. Samedi, alors qu’ils se trouvaient tous les deux à la maison et que les enfants regardaient un dessin animé dans une autre pièce, éclate une dispute qui dégénère très rapidement. Hafida Bourouih aurait menacé son mari avec un couteau, ce dernier la frappe violemment au bras puis l’étrangle avec une corde.
Puis tout s’enchaîne très vite apparemment. L’homme enveloppe le corps de sa femme dans un sac plastique puis le met dans le coffre de sa voiture avant prendre la route en compagnie de ses deux enfants. Il attend que ses enfants s’endorment pour finaliser son plan macabre.
Avec l’aide d’une scie, il tente de découper le corps en morceaux, mais devant la "difficulté de la tâche", il abandonne le tout en se promettant de revenir plus tard, sauf qu’il est arrêté par la police d’Albertslund, une commune de l’île.
Pour la police, Anders Larsen a tenté de découper le corps pour le faire disparaitre. Sur le lieu, la police finira par découvrir le corps de la Marocaine en deux morceaux, une scie, une hache, un couteau ainsi que d’autres outils.
La famille de la défunte est sous le choc et un membre a tenu à le lui dire pendant son audition.
« Ce n’était pas suffisant pour toi de la frapper ? qu’en est-il de tes enfants. J’espère vraiment que tu as mauvaise conscience fils *** »
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