Des images montrant un drone prétendument marocain abattu par le Polisario dans le Sahara circulent sur les réseaux sociaux. De quoi s’agit-il en réalité ?
Christine Fages, porte-parole adjointe du ministère français des Affaires étrangères, a indiqué mercredi que la situation du colonel Terhzaz préoccupait le Quai d’Orsay, notamment en raison de son âge.
La porte-parole a également affirmé que Bernard Kouchner, ministre des Affaires étrangères, a "évoqué la question avec son homologue marocain Taïeb Fassi Fihri, auquel il a également écrit pour demander notamment à exercer la protection consulaire française".
Mercredi, lors d’une conférence de presse au siège de l’Association marocaine des droits de l’Homme (AMDH) à Rabat, l’avocat français de Kaddour Terhzaz, William Bourdon, aurait été très contrarié de ne pas avoir eu le droit de rencontrer son client qui, dit il, "a été privé d’un procès équitable".
Balloté entre "un secret de Polichinelle" de l’avis de ses avocats et "un secret défense" du point de vue de l’accusation, Kaddour Terhzaz, est incarcéré depuis 2008 à la prison de Salé où il purge une peine de 12 ans pour "atteinte à la sécurité de l’État".
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