Suite aux instructions du roi Mohammed VI, le gouvernement d’Aziz Akhannouch s’active pour la réforme du Code de famille.
Les révoltes du Moyen Orient ne concernent pas que les républiques, estime le Financial Times, qui fait remarquer que le développement des protestations à Oman, Bahreïn, Jordanie, Maroc et également en Arabie Saoudite, laisse présager que les monarchies ne sont pas à l’abri des vents de changement qui soufflent sur le monde arabe.
Le quotidien britannique prévoit plus de protestations au Maroc, en raison de la détérioration de la situation économique et de l’absence de démocratie à laquelle aspirent les peuples arabes, depuis l’éclatement de la révolution du Jasmin en Tunisie.
Même si le Roi Mohammed VI jouit d’une grande estime au Maroc en tant que commandeur des croyants, poursuit Financial Times, les aspirations du peuple marocain, qui veut accélérer le processus des réformes dans le Royaume, se font fortement sentir à l’intérieur du pays.
Les manifestants ne critiquent pas le Roi, mais réclament le départ de son secrétaire particulier Mounir Majidi, qui est à la tête de la holding Royale Siger.
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