
Au Maroc, les mères célibataires continuent d’être victimes de préjugés et de discriminations. Pour preuve, la loi marocaine n’autorise pas ces femmes à demander des tests ADN pour établir la paternité de leur enfant.
Un tribunal de Malaga vient de condamner un passeur marocain à cinq ans de prison ferme pour avoir tenté d’introduire clandestinement en Espagne 26 immigrés clandestins.
Les faits remontent à juillet 2006 lorsque le passeur, âgé de 31 ans, a conduit à bord d’une embarcation 26 personnes, dont deux mineurs, jusqu’au littoral de la localité de Velez, près de Malaga. Les forces de sécurité ont pu intervenir avant le débarquement des immigrés clandestins et arrêter le passeur, qui fait partie, selon l’acte d’accusation, d’un réseau spécialisé dans le trafic de personnes.
Dans la législation espagnole, qui a été durcie après la recrudescence des flux migratoires, les passeurs d’immigrés sont poursuivis pour ’"atteinte aux droits des citoyens et des travailleurs étrangers’’, un délit passible de plusieurs années de prison selon la gravité des faits.
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