Le recours formé par ce Marocain au sujet de sa naturalisation a été rejeté par la Chambre des litiges de la Cour Suprême, rapporte El Faro de Ceuta.
Selon la même source, l’examen d’intégration ne prend pas seulement en compte la connaissance de la langue mais s’appuie plutôt sur la maîtrise des "aspects fondamentaux de la réalité culturelle, constitutionnelle et politique de l’Espagne".
Le requérant, grâce à ses nombreuses années passées en Espagne est capable de s’exprimer en espagnol. Son intégration insuffisante se justifie par sa non-maîtrise de certaines questions essentielles sur l’Espagne.
L’autre facteur qui invalide la demande du Marocain est lié au volet sanitaire. Le requérant souffre d’un degré d’incapacité de 53% (dû à une maladie du système métabolique endocrinien due au diabète).