
Une enquête ouverte après le drame survenu à Tanger
26 personnes sont mortes électrocutées, lundi 8 février, dans un atelier clandestin de confection textile à Tanger. La police a ouvert une enquête, sous la supervision du...
Une députée du Parti de l’Authenticité et de la Modernité a appelé à la démission du ministre de l’Emploi, Mohamed Amekraz, suite au drame survenu lundi dans un atelier clandestin à Tanger.
Lors de la séance des questions orales, tenue lundi à la Chambre des représentants, la parlementaire Zhor El Ouahabi a déclaré : « Vous auriez dû déposer votre démission avant d’arriver à l’institution législative. Vous êtes le premier responsable du décès de la jeune femme, de l’enfant et de la mineure », ajoutant « vous en assumez l’entière responsabilité ».
« Une enquête judiciaire, ouverte sous la supervision du Parquet général, va déterminer les responsabilités respectives », a répondu le ministre, soulignant que « nous n’accepterons aucun compromis aux dépens des victimes. Ce sont nos enfants et nous avons l’obligation de les défendre ».
En tout, 28 personnes sont mortes électrocutées, lundi, suite à l’inondation d’une usine clandestine de textile située au sous-sol d’une villa au quartier résidentiel Barness à Tanger.
Aller plus loin
26 personnes sont mortes électrocutées, lundi 8 février, dans un atelier clandestin de confection textile à Tanger. La police a ouvert une enquête, sous la supervision du...
Adil Boullaili, le propriétaire de l’usine textile dans laquelle plusieurs ouvriers ont trouvé la mort lors d’une inondation, le 8 février dernier à Tanger, a été entendu par la...
24 heures après le drame de Tanger qui a coûté la vie à 29 personnes, piégées par l’eau dans « l’usine de la mort », Israël a exprimé sa compassion aux « frères marocains ».
L’Association marocaine des droits de l’homme (AMDH) interpelle le gouvernement et demande que les responsables du drame de Tanger soient sanctionnés à la taille de la perte...
Ces articles devraient vous intéresser :