
Au Maroc, des individus profitent de la pénurie des livrets de famille notée dans certaines communes du fait de la rupture de stocks restants, pour vendre ces documents à des prix élevés.
Plusieurs prisons marocaines vivraient sous pression ces dernières semaines. Des insurrections de détenus auraient même été évitées de justesse.
A l’origine de ces tensions, des inspections poussées menées par l’Administration pénitentiaire, visant à dépouiller les détenus de tout outil de communication.
D’autres informations incertaines parlent de climat tendu à la prison locale d’Aït Melloul mardi, où des détenus auraient observé une grève pour avoir été privés de leur droit à l’intimité conjugale.
Ces inspections et durcissements font suite aux émeutes qui avaient éclaté à la prison de Salé et qui avaient été largement couvertes et retransmises sur YouTube et les réseaux sociaux, par des prisonniers au moyen de téléphones portables.
Ces articles devraient vous intéresser :