
Deux milieux de terrain marocains, révélations de la Coupe du monde 2022, sont au cœur d’un mercato agité. Leurs situations au sein de leurs clubs semblent s’être compliquées, laissant planer le doute sur leur avenir.
Les drapeaux marocain et algériens au poste-frontière
C’est désormais officiel. L’Algérie, par la voix de son ministre des Sports, vient de réaffirmer sa disposition à présenter une candidature aux côtés du Maroc et de la Tunisie pour la Coupe du monde de football en 2030.
En marge des 3e Jeux africains de la jeunesse JAJ-2018 d’Alger qui se sont déroulés du 18 au 28 juillet, Mohamed Hattab a ainsi déclaré : « Je réitère la disposition de l’Algérie à étudier une éventuelle candidature conjointe avec le Maroc et la Tunisie pour l’organisation du Mondial-2030. C’est un projet qui va être bénéfique pour le Grand Maghreb. Je pense que les infrastructures sportives et les sites d’hébergement sont disponibles dans ces pays maghrébins. Le dossier de candidature sera assez solide ».
Pour l’instant, le Maroc n’a pas encore pris sa décision pour une candidature conjointe même s’il réfléchirait, sans forcément l’annoncer, à faire équipe avec le Portugal et l’Espagne.
Plusieurs voix se sont élevées en Afrique pour demander une candidature commune de pays maghrébins. Tayeb Baccouche, Secrétaire général de l’Union du Maghreb arabe (UMA), presse les chefs d’Etat maghrébins à une candidature commune.
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