Les ressortissants marocains, expulsés il y a peu de battisses abandonnées à San Nicol Varco, avaient acheté des contrats de travail saisonnier. Arrivés en Italie légalement, les victimes n’ont pas pu travailler, les employeurs étant introuvables.
Après avoir été expulsés des bâtiments vides, nombres d’entre eux ont été transférés vers des centres d’expulsions.
Une plainte a été déposée par l’Organisation internationale pour les migrations (Oim) auprès des services de polices. L’organisation craint cependant l’annulation de la procédure en cas d’expulsion des 700 victimes.