Une nouvelle entreprise marocaine se voit attribuer un marché de taille dans le cadre du projet de ligne grande vitesse Kénitra-Marrakech.
La ville de Casablanca devra prendre son mal en patience jusqu’au mois de février pour la réception définitive des 400 bus d’occasion promis par Alsa. Pour le moment, une centaine de bus sont déjà au port de la ville, selon une source autorisée.
Les Casablancais s’impatientent de voir les 400 bus de transition circuler dans la ville. Ils se consolent à admirer ceux destinés à la formation, sillonner les artères de la métropole. Dans une interview accordée à Medias24, Alberto Perez, directeur général d’Alsa Maroc, a assuré que les bus de transition seront tous acheminés vers le royaume en février.
Une source bien informée au sein des services de la ville, a cependant déclaré que la convention qui porte sur l’ensemble du parc (bus d’occasion et neufs) n’a toujours pas été signée. Pourtant, une source au sein d’Alsa Maroc réfute tout retard dans la procédure, et rassure que " les 400 bus sont déjà achetés et seront acheminés en février". Elle assure aussi que ce sont " les démarches administratives à finaliser qui prennent un peu de temps ", surtout que " les bus d’occasion sont liés à une convention d’investissement globale ".
Le dossier d’investissement d’Alsa a été examiné et approuvé par la commission technique des investissements, le vendredi 10 janvier 2020. Il ne reste plus que la convention d’investissement soit signée par les différents ministres concernés et que l’autorisation d’importation soit accordée pour les bus d’occasion restants.
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