La Direction générale de la météorologie (DGM) s’explique sur un phénomène naturel rarissime qui touche les régions désertiques et sahariennes du Maroc.
Le président algérien Abdelaziz Bouteflika a formellement reconnu mercredi le rôle déterminant de son pays dans la campagne des reconnaissances en faveur de la fantomatique république sahraouie basée au sud de Tindouf (sud-ouest de l’Algérie).
Le président algérien Abdelaziz Bouteflika a formellement reconnu mercredi le rôle déterminant de son pays dans la campagne des reconnaissances en faveur de la fantomatique république sahraouie basée au sud de Tindouf (sud-ouest de l’Algérie). Devant le 10ème congrès de l’Organisation nationale des Moujahidines (ONM), réuni à Alger, le président Bouteflika, dont le discours a été intégralement diffusé mercredi soir par la télévision publique algérienne, a indiqué que l’Algérie s’était investie dans la question du Sahara jusqu’à obtenir la reconnaissance de 74 pays.
Ces déclarations, qui n’ont pas été reprises dans la version officielle diffusée par l’agence de presse algérienne (APS), viennent une nouvelle fois confirmer l’implication totale et directe de l’Algérie dans l’affaire du Sahara. Le président algérien avait pourtant multiplié ces derniers temps des déclarations, selon lesquelles son pays n’avait aucun intérêt dans ce conflit et qu’il éprouvait des sentiments d’amitié et d’affection pour le Maroc. Les nouveaux propos du président algérien, probablement censurés parce qu’ils étaient en contradiction avec le discours officiel, confortent le Maroc qui a toujours estimé que le conflit du Sahara n’aurait jamais existé, si l’Algérie s’était abstenue de s’y ingérer.
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