Amine Harit négocie un accord amiable avec la famille
Alors qu’il devait passer aujourd’hui devant le juge, l’international marocain Amine Harit a finalement rendez-vous demain, mardi, pour laisser le temps à un « accord amiable » avec la famille de la victime.
C’est ce qu’indique une source proche du dossier à l’AFP, selon laquelle l’audition a été repoussée à mardi pour « laisser la voie aux négociations avec les parents de la victime en vue d’un arrangement amiable » et financier.
Si les deux parties parviennent à un accord, les poursuites judiciaires pourraient être abandonnées à l’encontre du joueur, qui a vu son passeport français confisqué juste après l’accident dans lequel un homme d’une trentaine d’années a perdu la vie.
Selon le code pénal marocain, un accident de la route est passible d’une peine de prison comprise entre 3 mois et 5 ans de prison, doublée en cas de facteur aggravant comme la drogue, l’alcool ou l’excès de vitesse.
Dans le cas du jeune footballeur Amine Harit, il n’était pas en excès de vitesse le jour du drame et le test de l’alcoolémie s’est révélé négatif.