Le procureur général du Maroc, Al-Hassan Al-Daki, a interdit aux fonctionnaires et huissiers de justice d’installer et d’utiliser les applications de messagerie instantanée, et principalement WhatsApp, sur leurs téléphones professionnels.
L’agresseur du métro de Lille, qui est de nationalité marocaine, passera 18 mois en prison française et, tout de suite après, 2 ans (forcée) hors de France.
Mercredi soir, vers 22h30, une jeune femme de 30 ans a été agressée, insultée et menacée par un jeune d’origine marocaine. Personne ne l’a secourue, alors même que cela a duré une bonne trentaine de minutes.
La victime a confié à RTL ne pas comprendre l’indifférence des passagers, alors qu’elle a été maltraitée sexuellement sur le quai et même dans la rame du métro, sous l’œil de dizaines de personnes.
Toutefois, après une bonne demi-heure de calvaire, et après avoir réussi à rejoindre la rue après s’être rendue compte que personne ne l’aidera dans le métro, la victime a été secourue par un automobiliste de 18 ans, aidé par les gardes de sécurité de l’hôpital voisin.
Jugé en comparution immédiate, l’agresseur a écopé de 18 mois de prison et de deux ans d’interdiction de territoire français, pour agression sexuelle en état d’ivresse et pour violences avec usage d’une arme. Mais l’enquête ne s’arrête pas là.
Le procureur de Lille a en effet ordonné à la police d’utiliser toutes les images dont elle dispose pour étudier l’éventualité de poursuivre ces "spectateurs passifs" pour non-assistance à personne en danger.
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