
Un durcissement du traitement administratif des étrangers, même en règle, se dessine à Nantes. Une note interne de la police dévoile une procédure inédite qui fait grincer des dents.
Le Maroc est à nouveau dans le viseur du parti d’extrême-droite espagnol, Vox. Cette fois-ci, la formation de Santiago Abascal demande au Gouvernement espagnol d’arrêter toute aide financière accordée à Rabat.
Le parti d’extrême-droite espagnol, Vox, n’est pas à son premier coup de colère contre le Maroc. Cette fois-ci, il prétexte que ces subventions ont atteint les 200 millions d’euros, sans pour autant en apporter des preuves.
Déjà, en mars dernier, il a demandé au Gouvernement espagnol de construire "un mur entre le Maroc et les deux enclaves espagnoles du nord du Maroc, Sebta et Melilla, afin de lutter contre l’immigration clandestine", rapporte Le Maroc diplomatique.
Le président de Vox serait même allé plus loin en suggérant que le Gouvernement marocain apporte sa contribution au financement de ce mur car, selon lui, "c’est le Maroc qui envoie des vagues d’immigrés clandestins pour faire chanter l’Union européenne".
Pire, Santiago Abascal appelle également au durcissement de la législation en interdisant aux migrants d’être "régularisés", "d’avoir accès aux services d’assistance sociale ou de santé".
Le leader du Vox sera suivi dans son sentiment anti-marocain par d’autres formations politiques, notamment, le parti d’extrême gauche, Podemos. Deux tendances qui ont la dent dure contre le Maroc.
En effet, selon la même source, "si Podemos joue la carte du Sahara marocain, Vox, lui, alimente la hantise des Espagnols contre les Marocains immigrés".
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