Entre Tawfik Ouldammar et le jazz, c’est une longue histoire d’amour, qui n’en finit pas de se renouveler. Une romance qui débute dans les années 70 : le jeune homme est alors un fan assidu de concerts de jazz régulièrement donnés dans les bases militaires américaines installées au Maroc, des soirées gratuites où les novices pouvaient se frotter à des musiciens plus expérimentés.