
De nombreux artistes marocains dénoncent l’avidité des organisateurs de festivals à s’accaparer du cachet du chanteur en échange de l’inscription de son nom à l’un des évènements d’été. Ils appellent le ministère de la Culture à intervenir.
Le chorégraphe marocain Sidi Larbi Cherkaoui termine actuellement sa dernière création artistique "Sutra" entouré de quinze moines bouddhistes du temple Shaolin, dans la province de Hénan, dans le centre de la Chine.
Dans une présentation de ce spectacle qu’il donnera en représentation, du 27 au 31 mai prochain sur les planches d’un théâtre à Londres, Cherkaoui a confié à la presse chinoise que cette nouvelle oeuvre associe des rythmes de la musique occidentale douce, au piano, à une chorégraphie exécutée par dix-sept moines de Shaolin, experts en arts martiaux.
Sidi Larbi Cherkaoui déclare s’être inspiré de l’esprit qui anime les guerriers du temple et qui se traduit dans la précision du geste et la méditation. Le chorégraphe précise avoir adopté dans "Sutra" un style nouveau en rythme et en danse pour conférer une interprétation chorégraphique aux arts martiaux dont le kung-fu.
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