Le mouvement, crée par la journaliste Zineb El Rhazzaoui, avait déjà tenté de sensibiliser les Marocains à sa cause l’année dernière en organisant un goûter en plein ramadan. Celui-ci avait été empêché par les autorités.
Cette année, le Mali ne semble pas prévoir d’action similaire, ou du moins n’en a pas encore fait l’annonce, mais veut relancer le débat "en faveur de la liberté de conscience et de religion" (Le Soir échos).
Au Maroc, il est strictement interdit de rompre le jeune durant la journée en public. L’article 222 du code pénal marocain prévoit des peines allant jusqu’à 6 mois d’emprisonnement pour tout musulman mangeant publiquement pendant le ramadan.