
À 39 ans, le chanteur marocain Abdelhafid Douzi pourrait rapidement tirer un trait sur sa carrière musicale. Il a par ailleurs annoncé qu’il se retirait du jury de l’émission « Star Light », dédiée à la découverte de talents musicaux.
L’atelier d’ORCAA (Organisation régionale pour la connaissance des artistes et des arts) accueillait du 5 au 7 juin le Printemps marocain de Rachid Ben Lahoucine.
Diplômé des Beaux-Arts au Maroc, venu poursuivre à l’école des Beaux-Arts de Dijon, Rachid fait un retour aux sources : professeur à l’ORCAA, aux ateliers des peintres de Marsannay-la-Côte ou encore à Dijon, il est resté pendant cinq ans attaché à la ville de Chenôve où il habitait.
Parti en 1992 pour la Saône-et-Loire, c’est à Colombier-en-Brionnais qu’il a ouvert son atelier Ombres et lumières. Peintre verrier, Rachid Ben Lahoucine travaille très largement avec la DRAC. En ce moment par exemple, il est chevet des vitraux de la cathédrale d’Autun.
Son Printemps marocain rassemble des peintures, anciennes ou nouvelles, tournée vers son pays d’origine.
Didier Haberkon, conseiller municipal, a souligné la très belle image que Rachid donne de son pays natal.
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