L’accusé, déjà emprisonné depuis 10 mois, aurait lui même excisé sa petite fille avec un couteau ou un objet tranchant. Mustapha El M. prétend que c’est l’acte d’un "sadique" ou de la famille d’accueil dans laquelle l’enfant était régulièrement hébergée.
L’avocat de l’accusé a demandé l’abandon de toutes les charges qui pèsent sur son client. Selon lui, aucune preuve n’existe quant à l’implication du père et personne ne peut dire quand et où cette excision a eu lieu. L’excision étant une pratique inexistante au Maroc, son client n’avait aucune raison d’exciser sa fille.