Le Maroc a connu une croissance économique assez soutenue depuis 2000, après l’accession au trône du roi Mohammed VI. Le royaume prend des mesures pour attirer les investissements étrangers et devenir une grande puissance régionale.
"Le Maroc n’est pas un ennemi, mais il constitue un risque". C’est en ces termes que le candidat espagnol aux élections européennes, Luis de Grandes du Parti Populaire espagnol, a exprimé la position de son parti sur les relations avec le Maroc.
Intervenant en direct sur les ondes de la chaîne de télévision de la communauté autonome de Madrid, le candidat populaire a révélé que la décision des Etats-Unis d’Amérique de conférer au Maroc le statut de pays allié de l’OTAN "avait été paralysée durant longtemps par Aznar". De Grandes a aussi rappelé qu’au moment de la crise de l’îlot Perejil, "nous nous étions tournés vers la France, la France s’est tournée vers le Maroc, et quand nous nous étions tournés vers les Etats-Unis, ces derniers s’étaient comportés comme des amis".
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