Ces conventions ont pour objectif de médiatiser le festival de Fès à travers les médias de la presse écrite et audio-visuels et de consacrer des pages d’hebdomadaires français et autres pour la connaissance de la ville et de ses différents secteurs porteurs.
Selon Mme Nadia Benjelloun, déléguée du festival chargée de l’Europe, les premiers partenaires "médias" au cours des neuf dernières années ont été "TV5, "RFI-RMC Moyen Orient", "le site internet Mondomix" , et "France Culture". Cependant pour donner plus d’envergure à la promotion du festival à travers l’histoire d’une ville culturelle, des nouveaux contrats de partenariat ont été signés.
C’est ainsi que "LCI-chaîne info est le premier média télévisé à devenir partenaire du festival". Appartenant au groupe TF1, cette chaîne couvrira le festival à travers l’émission musicale de Jacques Collet.
"Le Figaro" est impliqué dans ses deux éditions "France" et "Maroc".
Son correspondant à Rabat qui est également celui de l’agence associated press "AP" devra consacrer quotidiennement une page sur Fès.
"Le Nouvel Observateur" réservera sa page culturelle à la manifestation et "La Vie", groupe de presse qui tire à 210 000 exemplaires, permettra d’étendre le partenariat à sa filiale "Le Monde des religions", "le monde de l’éducation" et "le monde diplomatique".
Cette édition verra également, souligne Mme Benjelloun, la participation médiatique de l’hebdomadaire "le Point", qui fera dans son édition "un encart spécial Festival".
Ce partenariat spécifique, conclu avec ce magazine qui tire à 355 000 exemplaires, a pour but de faire une couverture rédactionnelle importante de la manifestation.
Par ailleurs, précise la déléguée, des contacts ont été aussi engagés notamment avec la Hollande, la Belgique, la Suisse, l’Allemagne, l’Espagne, l’Italie et la Grande-Bretagne.
Une conférence de presse sera organisée au Sénat, le 9 avril prochain pour montrer le caractère international du festival de Fès des musiques sacrées du monde, signale Mme Benjelloun.
Le but étant de sensibiliser l’institut du Monde Arabe (L’IMA) qui estime-t-elle "ne se prête qu’à des manifestations du Monde Arabe".
MAP