Âgée de 24 ans et exerçant dans un dispensaire à Oujda, la suspecte a falsifié et délivré des tests négatifs sans que les personnes concernées ne soient soumises à l’examen de dépistage.
En contrepartie, elle exigeait des sommes d’argent variant entre 1 000 et 2 000 dirhams, a indiqué la Direction générale de la sûreté nationale.
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Trois autres complices présumés qui jouent le rôle d’intermédiaire dans ce trafic de pass sanitaires, ont ensuite été interpellés par la police.
Selon la DGSN, tous les accusés ont été placés en garde à vue dans le cadre de l’enquête approfondie menée sous la supervision du parquet, afin de déterminer les ramifications de ce réseau opérant dans le domaine de la santé.