
Le Maroc pourrait faire face à une grave crise sanitaire et à une augmentation des incidents de violence et de criminalité, en raison de la propagation rapide de la drogue « l’boufa » qui détruit les jeunes marocains en silence.
L’affaire du double assassinat de deux jeunes à Marguerittes, près de Nîmes, en juin dernier, connaît de nouveaux rebondissements.. La justice vient de mettre la main sur deux individus impliqués dans cette affaire, après trois mois d’enquête.
Trois mois après ce double homicide survenu à Marguerittes, on en apprend davantage sur ses tenants et ses aboutissants. En effet, la justice vient de mettre en examen deux suspects.
Les faits remontent à la nuit du 15 au 16 juin où deux hommes d’origine marocaine avaient été retrouvés morts, chacun ayant reçu une balle dans la tête, rappelle 20minutes.fr.
Les enquêteurs qui ne se faisaient aucun doute sur le caractère prémédité de ces crimes ont placé un troisième homme sous le statut de témoin assisté alors que deux autres, auparavant arrêtés, ont dû être libérés.
Cependant, une enquête est toujours en cours, afin de déterminer avec certitude les raisons de ces assassinats. Selon les premiers éléments de l’enquête, plusieurs hypothèses permettent de lier ce double meurtre à un trafic de drogue entre la France, l’Espagne et le Maroc ainsi qu’à un mariage blanc.
Toutefois, Eric Maurel, Procureur de Nîmes, se veut encore prudent sur les mobiles réels de ce double meurtre qui, à l’en croire, restent encore à déterminer avec certitude. "Il pourrait superposer plusieurs motifs", fait-il observer.
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