Beaucoup de travail ces dernières semaines pour les services de communication de la Délégation générale à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGPAPR). Hier, encore elle a tenu à démentir des rumeurs sur l’un des prisonniers les plus célèbres du Maroc : Nasser Zezafi.
Dans un communiqué, la DGAPR affirme que le leader du Hirak « n’a pas subi une injection d’une substance dolorigène », déplorant des « propos insensés montés de toute pièce, qui sont le pur produit de l’imagination débile des parties qui les ont colportés et commentés en même temps comme s’il s’agissait de faits réels ».
Pour la direction des prisons, le détenu est « traité d’une manière tout à fait normale et se trouve en bon état de santé » et que ce dernier « n’est même pas au courant des mensonges proférés à son sujet ».
Toutes les personnes colportant des fausses informations pourrait être poursuivies en justice, prévient la DGAPR, mettant en garde garde contre « les conséquences graves de telles allégations fallacieuses et des pratiques séditieuses dont elles usent pour servir des agendas pour le moins suspects ».