À l’occasion de à l’occasion de l’Aïd Al Adha, célébrée ce jeudi 29 juin au Maroc, le Roi Mohammed VI a accordé sa grâce à 1 434 personnes condamnées par différents tribunaux du Royaume.
Les révolutions arabes auraient pu tourner court si les régimes en place étaient des monarchies telle celle régnant au Maroc. C’est en tout cas ce qui ressort de déductions faites par le Nouvel Observateur.
Au Maroc, le Roi Mohammed VI a anticipé les aspirations de son peuple en engageant des réformes démocratiques et profondes. La monarchie constitue un véritable rempart contre les dangers qui peuvent menacer le pays, souligne le Nouvel Observateur.
L’auteur qui justifie sa théorie par plusieurs exemples où la monarchie a joué un rôle central pour engager ces pays dans un processus démocratique, revient sur les cas de l’Algérie, de la Tunisie, de l’Egypte, ou encore de l’Irak et la Syrie, que la monarchie aurait pu sauver du désastre.
Les insurgés libyens, indique l’auteur, brandissent le drapeau du Roi Idriss Ier qui régnait constitutionnellement sur son pays, avant qu’il ne soit renversé en 1969 par Kadhafi. Les libyens sont d’ailleurs nostalgiques de l’ère de cet homme pieux, dont le drapeau est aujourd’hui le symbole de l’unité d’un pays ravagé par une véritable guerre civile.
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