Les salariés marocains peuvent se frotter les mains. Des mesures fiscales qui leur sont favorables sont consignées dans le projet de loi de finances (PLF-2025).
Mohamed Elwardyi, 88 ans, se retrouve aujourd’hui en situation irrégulière en France, pays où il a travaillé légalement pendant plus de cinquante ans !
Pour gagner sa vie, Mohamed Elwardyi, doit encore travailler ! Sans retraite ni assurance maladie, le vieil homme n’hésite pas à faire des petites boulots dans son voisinage.
Arrivé à Nice en 1957 à l’âge de 34 ans, Mohamed a travaillé pendant plus de cinquante ans avec des titres de séjour provisoires dans le bâtiment. Désormais hébergé par sa nièce à Cannes, Mohamed n’a même pas pu se rendre aux funérailles de son unique fils au Maroc, son pays d’origine. Sa femme, qu’il n’a pas revu depuis 23 ans, y vit encore.
Aujourd’hui, le vieil homme, qui a perdu tous ses papiers, n’arrive pas à obtenir de nouveaux documents au Maroc. En résulte le refus de l’administration française de le régulariser. Mohamed lui, espère seulement pouvoir un jour bénéficier de la petite retraite de 80 euros qui pourrait lui être accordée grâce à quelques fiches de payes, afin de dédommager un peu sa nièce.
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