Près d’un quart des potentiels bénéficiaires de l’aide au logement sont des Marocains résidant à l’étranger (MRE). Les inscriptions ont démarré le 1ᵉʳ janvier.
Lancé depuis quatre ans au sud de la ville de Kénitra, le méga projet "Mehdia Sustainable City" a du plomb dans l’aile. Objet d’une convention entre l’État marocain et le groupe émirati, International Investment Group (IIG), "Mehdia Sustainable City" a dû revoir ses ambitions à la baisse.
Plus de 20 milliards de dirhams. C’est le montant de ce projet sis au sud de la ville de Kénitra. Suite à une convention entre l’État marocain et le groupe émirati "International Investment Group" (IIG), ce programme d’investissement qui a démarré il y a quatre ans, est malheureusement à l’arrêt depuis plus d’un an et demi.
Dans son volet résidentiel, quelque 2 000 appartements tous standings confondus, construits par un groupement dirigé par la Société générale des travaux publics (SGTM), et bénéficiant des technologies vertes les plus avancées en matière d’optimisation énergétique et d’éco-construction, étaient prévus. Mieux, selon Challenge, rien n’a été fait jusqu’à présent quant aux autres pôles (les plus importants d’un point de vue financier et urbanistique) de ce projet qui prévoit également la construction d’un hôtel 5 étoiles et autres.
Selon le planning d’exécution du projet, la date de réception définitive des ouvrages de cette nouvelle cité n’est prévue qu’en 2024. Cependant, des doutes subsistent au regard des fonds injectés par la maison mère d’International Investment Groupe UAE-Morocco.
À cette allure, "Mehdia Sustainable City" risque de connaitre le même sort que plusieurs autres mégas projets portés par des investisseurs du Moyen-Orient qui sont restés au stade de maquettes.
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