Un collectif des associations marocaines de protection animale dénonce « des opérations brutales et inhumaines, de capture et d’abattage des animaux à travers tout le pays, incluant ceux déjà stérilisés, vaccinés et identifiés ».
Un hélicoptère de trafiquants de drogue s’est écrasé aux premières heures du vendredi 6 septembre, à quelques kilomètres de la ville d’Assilah, indiquent des sources locales.
Fort heureusement, le pilote de l’appareil s’en sort avec quelques égratignures. Celui-ci, un Mexicain âgé d’une cinquantaine d’années, qui transportait de la cocaïne en provenance de l’Amérique du sud vers l’Espagne, a été aussitôt interpellé par les éléments de la Gendarmerie royale et évacué vers l’hôpital le plus proche pour être soigné avant de répondre de ses actes, précisent les mêmes sources.
Les causes de cet accident demeurent floues. Toutefois, selon des sources proches de la Gendarmerie royale, l’hélicoptère voyageait à basse altitude afin d’éviter les radars. Une enquête a été dès lors ouverte pour déterminer les causes et les circonstances exactes de ce crash qui n’est pas le premier dans la région.
Quelques opérations de trafic de ce genre ont échoué ces derniers jours. En effet, le 2 septembre, la police espagnole a arrêté quatre suspects britanniques pour leur implication présumée dans un réseau international de trafic de drogue. Au cours de l’opération d’arrestation, elle a saisi 100.000 euros et 1.500 kilogrammes de cannabis.
Quelques jours plus tôt, soit le 15 août, une unité de la Royal navy a interrompu une opération de trafic de drogue dans la même région d’Assilah, au nord du Maroc. Après une longue chasse pour arrêter trois "Go-fast", la marine a saisi 130 paquets de résine de cannabis de plus de 4 tonnes. Mieux, en juin 2019, la police marocaine de Nador a interrompu une importante opération internationale de contrebande de drogue et saisi 12 tonnes et 800 kilogrammes de résine de cannabis.
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