Pour les médecins de la clinique privée de Casablanca, le seul traitement possible est le recours à une intervention chirurgicale, dont les tarifs sont jugés excessifs. Sans moyens financiers, Achraf confie avoir lancé un cri de détresse auprès du ministre de la Santé Khalid Ait Taleb et aux âmes charitables à l’intérieur et à l’extérieur du pays. Sans succès. Il a alors pris la décision de sacrifier son rein pour sauver la vie de sa mère.
Son histoire a touché l’association française L’îlot câlins qui a lancé une collecte de fonds en ligne pour lui venir en aide. Une plateforme numérique a été mise à la disposition des donateurs : www.cotizup.com/unfoiepourfatima.