Une enseignante israélienne met en avant la cuisine marocaine et la darija (vidéo)
Ruti Ben Ami, enseignante israélienne, construit le pont entre la langue arabe et la cuisine marocaine. Elle rêve d’une véritable paix entre les Juifs et les Arabes.
La Commission de la Cacheroute au Maroc affilié à la Communauté juive marocaine a pris des nouvelles mesures afin « d’améliorer la valeur du contrôle du signe Cacher Maroc sur le territoire du national, notamment à Marrakech et Casablanca ».
Le rabbin-juge Gabriel Kessous, responsable de l’abattage rituel, est chargé de superviser les gérants de restaurants, de traiteurs et de boulangeries de Casablanca qui sont titulaires d’une licence, fait savoir la Commission de supervision du label. Ceux de Marrakech sont, eux, sous le contrôle du rabbin Berdah. Les personnes à la recherche de produits cacher sont invitées à consulter la liste des fournisseurs portant la marque « Cacher-Maroc ».
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Selon la Commission, il n’est pas exclu que d’autres produits comme le vin, des confiseries en conserve et des produits dérivés du lait s’ajoutent à ce label. Cette dynamique s’inscrit dans le cadre de « l’effort de développement des produits de cacher au Maroc ».
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Au Maroc, la Commission de la Cacheroute de la communauté juive de Casablanca est le seul organisme habilité à délivrer les autorisations « Teoudoth » et le droit d’usage du label. Elle est composée de Beth Din, la seule instance responsable de toutes les questions relatives au respect des prescriptions religieuses.
Aller plus loin
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Au Maroc, les acteurs touristiques veulent attirer les touristes israéliens pour se refaire une santé financière en ces temps de Covid-19. La formule est trouvée : le « casher ».
La rumeur selon laquelle les touristes israéliens en visite au Maroc seraient soumis à une taxe en contrepartie de la délivrance du « Label Casher Maroc », est complètement...
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