
Nasser Zefzafi, leader du mouvement de contestation du « Hirak », a bénéficié d’une permission pour rendre visite à un proche malade.
Louis Witter - Le Desk
Ils étaient plusieurs centaines de personnes à s’être donné rendez-vous à Paris en soutien aux manifestations qui se déroulent depuis plusieurs mois dans le Rif.
Parmi les slogans entendus, la libération de toutes les personnes incarcérées à Casablanca et Al Hoceima et le départ des forces de l’ordre stationnées à Al Hoceima et dans les villes limitrophes.
Cité par le Desk, un jeune de 37 ans se remémore les événements de 1984. « Je garde une image en tête, quand j’étais petit en 84 et que j’ai vu des gens se faire tirer dessus pour avoir manifesté. Nous, on a grandi avec le portrait d’Abdelkrim dans la maison », déclare-t-il.
Le Desk fait également part de la présence d’une femme d’une quarantaine d’années qui est venue perturber la marche aux cris de « Traîtres ! Vive le Maroc ! Vive le Maroc ! Vive Mohammed VI ! ». Cette dernière fini par être embarquée par la police.
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