Le Maroc ambitionne de faire renaître sa flotte commerciale des cendres. Pour ce faire, une délégation gouvernementale s’est rendue en Corée du Sud, à la rencontre du géant de la construction navale HD Hyundai Heavy Industries.
L’armateur français SNCM (Société Nationale Maritime Corse Méditerranée), convoiterait la liaison maritime entre les ports de Sète en France et Tanger.
La compagnie basée à Marseille, qui dessert déjà l’Algérie et la Tunisie, étudie la possibilité d’investir les liaisons Sète-Tanger et Sète-Nador, à condition qu’elle obtienne les autorisations nécessaires.
La directrice de communication de la SNCM, Françoise Merck, qui a fait cette confidence dans un entretien à Econostrum, affirme que les dessertes sur le Maghreb sont très importantes pour l’armateur français.
Au port de Sète, les deux navires de la Comanav et de la Comarit, le Biladi et le Marrakech, sont à quai depuis le 7 janvier en raison de la saisie conservatoire des deux bateaux pour créances impayées.
Faute de passagers, un troisième navire de la Comarit, le Bni Nssar, est également bloqué depuis plusieurs semaines au port de Sète.
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