La Direction générale de la météorologie (DGM) s’explique sur un phénomène naturel rarissime qui touche les régions désertiques et sahariennes du Maroc.
L’Algérie soutient une "solution juste et définitive fondée sur le droit du peuple sahraoui à décider librement de son destin" au Sahara, a réaffirmé mercredi à Alger le président Abdelaziz Bouteflika.
"La question du Sahara, qui est et demeure un problème de décolonisation inachevée, attend toujours de trouver une solution conforme à la légalité internationale", a déclaré le président algérien lors d’un dîner offert en l’honneur du président paskistanais Pervez Musharraf en visite d’Etat en Algérie.
"La position de l’Algérie (...) reste constante et ne souffre d’aucune ambiguïté. Elle réside dans notre soutien au plan de règlement de l’ONU et aux accords de Houston que les deux parties au conflit, le Maroc et le Front Polisario ont acceptés", a souligné le chef de l’Etat algérien.
Un référendum d’autodétermination, prévu en janvier 1992, après un cessez-le-feu effectif depuis septembre 1991, est repoussé d’année en année en raison de divergences entre le Maroc et le Polisario, essentiellement sur la composition du corps électoral appelé à y participer.
"De notre point de vue, il est impératif que l’ONU continue d’assumer ses responsabilités dans la recherche d’une solution juste et définitive, fondée sur le droit du peuple sahraoui à décider librement de son destin".
"Pour ce qui la concerne, l’Algérie continuera à apporter son plein appui aux efforts du secrétaire général de l’ONU et elle renouvelle son soutien et sa confiance à M. James Baker dans sa recherche d’une solution juste et durable à ce conflit qui n’a que trop duré", a ajouté M. Bouteflika.
Les Etats-Unis avaient présenté la semaine dernière un projet de résolution prévoyant notamment, à l’issue d’une période de quatre ans minimum et cinq ans maximum la tenue d’un référendum.
Dans l’intervalle, une autorité administrative, l’Autorité du Sahara, dont le chef exécutif et l’assemblée législative seront élus, doit prendre en charge ce territoire actuellement occupé par le Maroc.
Le Maroc "a rejeté les termes du dernier plan proposé par James Baker", envoyé personnel du secrétaire général de l’ONU pour le Sahara.
MAP
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