Comment Tétouan compte protéger sa zone industrielle des crues
Le conseil de la région de Tétouan et l’Agence pour le bassin du Loukkous ont signé une convention pour construire un canal de contention dans le périmètre sud de la zone...
Les villes de Rabat et d’Essaouira, entre autres, sont menacées par des inondations, suite à la montée des eaux, faisant augmenter le niveau des océans dans plusieurs endroits du globe dont le Maroc.
Le réchauffement climatique n’épargne aucun pays. Dans les années à venir, le Maroc pourrait faire les frais de ce phénomène qui, ajouté à la montée des eaux, préoccupe les autorités compétentes.
Selon le site de l’organisation, Climate central, qui a tenté de modéliser les conséquences de la montée des océans, l’effet pourrait en être redoutable, notamment, sur les côtes marocaines, souligne France Tv Info.
A en croire Le360, "plusieurs villes côtières marocaines du littoral méditerranéen et atlantique pourraient complètement disparaître dans les trente années à venir en raison de la montée du niveau de la mer, conséquente au réchauffement climatique".
Pour sa part, Medias24 livre, selon les résultats des études, "les villes ou les régions qui seront presque totalement englouties” : “Dakhla, Tarfaya, Martil, Fnideq, Mdiq. Mais, également, en sont concernées “les villes de Laâyoune, Agadir, Essaouira, El Jadida, Casablanca, Mohammedia, Rabat, Kenitra, Larache, Tanger et Saïdia, qui perdront une bonne partie de leurs quartiers.
Quant au littoral méditerranéen, il ne serait pas également épargné par le phénomène, alors que la côte atlantique en est déjà touchée. D’après Medias24, "la baie d’Hoceima sera engloutie", tandis que "sur la côte méditerranéenne aussi, la montée annoncée des eaux provoquera son lot de dégâts. Martil, Fnideq, Mdiq seront totalement envahies par la mer Méditerranée. Les trois sites n’existent plus sur la carte".
Le danger qui guette le Maroc, du fait de ce phénomène préoccupe ses plus hauts dirigeants. Au cours d’un sommet africain sur le climat, le roi Mohammed VI a affirmé à cet effet : “Assurément, la dégradation de notre environnement est un fait avéré. Elle constitue ainsi une menace que nous nous devons d’affronter".
Aller plus loin
Le conseil de la région de Tétouan et l’Agence pour le bassin du Loukkous ont signé une convention pour construire un canal de contention dans le périmètre sud de la zone...
Ces articles devraient vous intéresser :