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Une nouvelle violation en matière de protection des données personnelles est révélée au grand jour. En effet, des numéros de téléphone liés à plus de 400 millions de comptes Facebook se sont retrouvés stockés en ligne, à la merci d’une utilisation malveillante.
Facebook est à nouveau au banc des accusés, cette fois-ci, pour une affaire de violation dont l’ampleur est de taille en matière de protection des données personnelles. Selon le site TechCrunch, tout serait parti d’un serveur vulnérable. Celui-ci a stocké 419 millions de dossiers d’utilisateurs du premier réseau social mondial sur plusieurs bases de données dont 133 millions de comptes aux Etats-Unis, plus de 50 millions au Vietnam et 18 millions en Grande-Bretagne.
TechCrunch fait observer que les bases de données répertoriaient les identités des utilisateurs de Facebook – une combinaison de chiffres uniques pour chaque compte – ainsi que les numéros de téléphone associés aux profils, le sexe pour certains comptes et la localisation géographique.
Cependant, alors que le serveur n’était pas protégé par un mot de passe, il est resté en ligne jusqu’à tard mercredi 3 septembre, quand TechCrunch a contacté l’hébergeur.
Si le groupe américain a partiellement confirmé les informations de TechCrunch, il a cependant minimisé l’incident. En effet, à en croire Facebook, en l’état actuel des vérifications, le nombre de comptes concernés ne représenterait que la moitié environ des 419 millions évoqués.
En outre, il a mentionné que nombre d’entre eux étaient des copies et que les données étaient anciennes. D’ailleurs, un Porte-parole de Facebook a confié à l’AFP : "Cet ensemble de données a été retiré et nous n’avons vu aucun signe montrant que des comptes Facebook aient vu leur sécurité compromise".
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