
Au Maroc, la criminalité sous toutes ses formes est maitrisée, assure le ministère de l’Intérieur dans un récent rapport.
Tarik Akbize, un jeune marocain qui a avoué vendredi un double meurtre commis en Haute-Vienne la semaine dernière, s’est suicidé lundi dans sa cellule de la maison d’arrêt de Limoges, à l’aide d’un drap.
L’homme qui s’était rendu à la police de son propre chef après avoir consulté son avocat, avait été mis en examen par la police avant d’être placé en garde à vue dimanche soir.
Ce natif du Maroc qui a grandi à Clermont-Ferrand, a tué la semaine dernière son "ami d’enfance" chez qui il résidait et un manutentionnaire de 48 ans, découvert mort sous son véhicule calciné.
Originaire du Puy-de-Dôme et plombier par intérim dans le Limousin où il résidait depuis plus d’un mois, Tarik Akbize a expliqué aux enquêteurs qu’il était "ensorcelé" et que ce sont des "forces sataniques" qui l’ont poussé à commettre son crime.
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