Le Maroc prévoit de se doter d’un nouveau Schéma directeur aéroportuaire national à l’horizon 2045, le dernier élaboré en 2013 étant devenu obsolète.
La France, par le biais de son ambassadrice Hélène Le Gal à Rabat, a salué les efforts du royaume pour sa gestion de la crise sanitaire due au Covid-19 et affirmé par la même occasion, sa détermination à œuvrer pour le renforcement des relations d’amitié et de coopération entre les deux pays.
La France et le Maroc entretiennent des liens séculaires qui n’ont de cesse d’évoluer. Lors de son entretien vendredi, avec le président de la Chambre des représentants, Habib El Malki, l’ambassadrice de France à Rabat, a salué les liens humains « forts » unissant les deux pays.
Selon la diplomate française, la gestion de la crise du Covid-19 a davantage rapproché les deux pays. Hélène Le Gal en veut pour preuve que les nombreuses opérations de rapatriement dans les deux sens de plusieurs personnes bloquées à cause de la pandémie de Covid-19, souligne un communiqué de la Chambre des représentants. Mais également, à l’en croire, le Maroc jouit d’importants atouts compte tenu de sa situation géostratégique vitale. Ce qui, ajouté à la situation exceptionnelle résultant de cette pandémie, « crée de nouvelles opportunités pour le renforcement de la coopération entre les deux pays en particulier, et entre le Maroc et l’Union européenne de manière générale ».
Pour la responsable française qui a salué les efforts du Maroc pour le maintien de la sécurité et la stabilité en Libye et au Mali, « Nos relations avec le Maroc connaîtront un essor important dans la prochaine étape ». Par ailleurs, Hélène Le Gal, a également insisté sur « l’importance de la consolidation de la coopération parlementaire entre les deux institutions législatives des deux pays ».
Le président de la Chambre des représentants, Habib El Malki, a affirmé l’engagement du Maroc qui à travers sa diplomatie agissante, menée sous le leadership du Roi Mohammed VI, entend « rétablir la paix et la stabilité en Afrique du Nord et dans la région du Sahel », sans pour autant tenir à « faire prévaloir le dialogue pour résoudre les différends ».
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