L’aide comprendra « des quantités importantes de produits alimentaires, de médicaments et d’eau », selon le ministère marocain des Affaires étrangères, et son envoi sera coordonné avec les autorités palestiniennes et égyptiennes, responsables du passage des camions par le poste frontière de Rafah.
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Cette décision de Mohammed VI témoigne de son « engagement constant » en faveur de la cause palestinienne, malgré la normalisation des relations du Maroc avec Israël en 2020, dans le cadre des accords d’Abraham, sous l’égide des États-Unis. En retour, Washington, et récemment Israël, ont reconnu la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental. Mais plus encore, cette décision du Maroc soulève des questions sur l’avenir de ses relations avec Israël et la Palestine.
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Le gouvernement marocain a invité Israël à respecter le droit international dans ce conflit avec la Palestine. Participant à un sommet au Caire sur le sujet, le ministre marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita, a appelé à un apaisement des tensions entre les deux pays et à accélérer l’acheminement de l’aide humanitaire à la Palestine.