Dans un communiqué, la préfecture de la province a confirmé l’information et annoncé l’ouverture de l’enquête. Selon les autorités sanitaires, les deux doses sont censées être injectées en deux injections à quelques semaines d’intervalle.
Depuis le lancement de la campagne le 29 janvier dernier, plusieurs cas de fraude ont été enregistrés. Les mis en cause ont été interpellés et sanctionnés aussitôt. Le 31 janvier dernier, 8 personnes non prioritaires ont été vaccinées au centre de vaccination « Anoual » de Taza contrairement aux recommandations du ministère de la Santé. Quelques jours plus tard, c’est un commandant de la paix qui a bénéficié de la dose à Berrechid. Il a écopé d’une suspension provisoire de travail.
A Dchira El Jihadia, non loin d’Agadir, c’est une jeune femme qui a été interpellée. Elle a reçu la dose de sa mère en utilisant sa pièce d’identité.