L’association Matkich Waldi (Touche pas à mon enfant) demande à la justice de condamner à des « peines maximales » un ancien ambassadeur marocain, poursuivi pour prostitution de mineures.
Nous sommes des milliers de Marocains de l’étranger à avoir pris le bateau "Berkane", entre l’Espagne et le Maroc. En pleine activité, ce géant transportait jusqu’à 2000 passagers et 450 véhicules. Ce temps là est fini. L’administration portuaire du port d’Almeria, dans le sud de l’Espagne, vient de le déclarer comme "abandonné".
Le navire marocain, qui appartient à la compagnie maritime Comarit, est ainsi abandonné depuis le 5 janvier 2012 au port d’Almeria, sans aucune activité. La société espagnole "Comarit SL", filiale du groupe marocain et propriétaire du navire, ne donne plus signe de vie, même après l’injonction des autorités judiciaires.
Ce n’est pas le seul bateau à l’abandon de la compagnie Comarit. On en trouve une dizaine un peu partout, en Espagne encore (Algésiras), en France, à Sète, mais également au Maroc. En 2012, une trentaine de marins Marocains avaient occupé le "Berkane", fait une grève de la faim pour non paiement des salaires. Sans succès.
Cela n’empêche pas d’autres compagnies de s’intéresser aux lignes de la Comarit. En 2012, l’armateur italien Grandi Navi Veloci (GNV), avait été autorisé par les autorités marocaines à reprendre partiellement les lignes autrefois exploitées par la Comarit. Ainsi, GNV pouvait exploiter les lignes Sète-Tanger, Sète-Nador et Almeria-Nador.
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