Au Maroc, l’image d’une jeune fille portant une tenue décrite comme « quasi-nue » crée la polémique sur les réseaux sociaux.
Quelques minutes à peine après la distribution des sujets du baccalauréat hier lors de l’examen régional unifié, des sujets et leurs corrigés étaient déjà disponibles sur les réseaux sociaux.
Malgré les promesses et les dispositions mises en place par le ministère de l’Education nationale, plusieurs fuites étaient déjà constatées sur Facebook, mais les autorités tentent de minimiser le couac et estiment que les examens se déroulent dans des conditions normales « en dépit de certaines opérations de perturbation lancées à travers la publication des épreuves sur les réseaux sociaux ».
Des arrestations ont déjà été opérées par la police parmi les personnes qui sont à l’origine de la « scannérisation et de la publication des épreuves ». Elles ont été déférées devant la justice.
Le ministère a démenti dans le même communiqué, les fuites concernant les épreuves du baccalauréat 2016, ajoutant que les épreuves qui sont actuellement partagées sur les réseaux sociaux sont celles de sessions passées.
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