
Face aux critiques des observateurs extérieurs opposés à l’annulation l’Aïd al-Adha au Maroc, Cheikh Mustapha Benhamza, membre du Conseil supérieur des oulémas du royaume, apporte des éclaircissements.
Une alerte à l’anthrax a été déclenchée hier, vers midi, à l’entrée de la Grande mosquée de Bruxelles, après la découverte de plusieurs enveloppes contenant de la poudre blanche non identifiée.
Après examen, il s’agirait « probablement de la farine », a confié le porte-parole de la police, Christian De Coninck, à l’AFP, assurant que la « substance retrouvée est inoffensive. »
Onze personnes exposées à cette poudre ont été prises en charge par mesure de précaution par la protection civile. Il s’agit de neuf fidèles et deux policiers arrivés sur les lieux juste après l’alerte.
La poudre contenue dans les enveloppes a été transportée vers un laboratoire pour être analysée et vérifier s’il s’agit bien d’anthrax. Ensuite, elle sera analysée une deuxième fois par l’armée pour s’assurer des résultats du premier laboratoire.
Lors de l’alerte, un périmètre de sécurité a été dressé autour de la mosquée et le trafic automobile a été dévié.
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