Le chiffre d’affaires moyen de l’Aïd Al-Adha devrait dépasser les 12 milliards de dirhams cette année. La plupart de ces fonds sont transférés aux zones rurales, permettant ainsi aux agriculteurs de couvrir les dépenses des autres activités agricoles, en particulier celles se rapportant aux préparatifs de la prochaine campagne agricole.
C’est ce que précise le ministère de l’Agriculture dans son dernier communiqué sur l’état du cheptel national, relevant au passage que la comparaison entre l’offre et la demande montre que les disponibilités en ovins et caprins couvrent largement la demande.
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Sur le plan économique, l’Aïd Al-Adha constitue en effet une opportunité pour améliorer le revenu des agriculteurs pour lesquels l’élevage du petit bétail constitue la source principale de subsistance, en particulier au niveau des grands pâturages. Ces ressources financières contribuent à stimuler les activités économiques dans le monde rural.