Selon leur avocat interrogé par le site le360.ma, ils ont été libérés faute de preuves et après le retrait de la plainte déposée par l’épouse du président de commune. « Ils n’ont pas été appréhendés dans un appartement contrairement à ce qui a été relayé dans la presse, poursuit l’avocat, mais dans la rue à la sortie d’un café. Ils étaient accompagnés d’une tierce personne », soutient-il à la même source.
De plus, l’appartement cité par la presse, dont Bladi.net, comme étant celui d’un proche et leur servant de lieu de rencontre, serait dédié aux employés des bureaux d’études « qui travaillent en collaboration avec la commune rurale Fdalate ».
Dans la nuit de mardi, le journal Assabah avait affirmé que les deux élus avait été interpellés dans un appartement en flagrant délit d’adultère.