Maroc : leur blague sur le coronavirus va leur coûter cher
La diffusion de rumeurs, de fake news est durement sanctionnée au Maroc depuis la semaine dernière. Deux filles arrêtées samedi soir, par la police judiciaire de Tanger, l’ont...
Face à la montée vertigineuse des fake news et rumeurs depuis le début de la pandémie du coronavirus, les autorités marocaines n’ont de cesse menacé de sévir selon les rigueurs de la loi. Une youtubeuse, du nom de "mi Naïma", a été appréhendée par la BNPJ, et placée en garde à vue pour diffusion, sur sa chaîne, de contenus erronés sur la crise actuelle.
La youtubeuse arrêtée, est suivie par près d’un demi-million de personnes. Elle s’est rendue coupable en affirmant sur sa chaîne que "l’épidémie est un leurre et qu’il faut continuer à mener sa vie le plus normalement du monde".
C’est après de nombreuses diffusions sur sa chaîne qu’elle a été arrêtée, le 17 mars, pour diffusion de fake news sur le Covid-19.
Aller plus loin
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Le ministère de l’Intérieur a appelé à la vigilance face aux fake news attribués à tort à des institutions officielles.
Les rumeurs et les fake news tendent à mettre à mal la sécurité des Marocains. Cette situation a empiré avec l’apparition du coronavirus.
Interpellée par la Brigade nationale de la police judiciaire (BNPJ) et placée en garde à vue pour diffusion, sur sa chaîne, de contenus erronés sur la crise actuelle, "Mi Naima"...
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